Lova Rinel Origine
Lova Rinel Origine – Le Conseil représentatif des associations noires est heureux d’accueillir Lova Rinel comme nouvelle présidente. Le 18 juillet, conformément aux statuts, l’Assemblée générale s’est réunie et a voté à l’unanimité en sa faveur.
Lova Rinel, née de parents malgaches et élevée dans une banlieue parisienne, a été conseillère diplomatique et politique des présidents malgaches. En outre, elle a rédigé la loi de 2014 abolissant la peine capitale et a été l’une des figures clés de l’organisation du sommet de la francophonie de 2016 à Antananarivo.
Mme. Rinel, qui fait partie intégrante du CRAN depuis des années, a clairement indiqué que son programme serait axé sur les questions de représentation des Noirs dans la société moderne. Lova Rinel a également déclaré son désir de renforcer les ancres institutionnelles du CRAN, arguant que l’organisation a toujours été un fervent partisan d’idées nouvelles. Déjà, elle a annoncé d’autres initiatives qui seront rendues publiques dans un proche avenir.
Depuis l’adoption de l’amendement sur l’égalité des droits en avril 2000, il y a eu un changement notable dans le niveau de représentation. Un maire qui ne diversifie pas sa liste électorale parie sur la défaite.
Les proches du président français s’apprêtent à lancer en février un projet politique d’un nouveau genre, celui qu’ils appellent “Pluriel” et qui oscille entre le collectif et le mouvement. Il est porté par un certain nombre de ministres et de législateurs, et il est destiné à avoir un impact négatif sur l’électorat de centre-gauche, en particulier parmi les soi-disant «diasporas» d’Afrique.
Révélations
Les délégués de plusieurs centaines d’organisations africaines et afro-américaines en France ont créé le 26 novembre 20052 devant l’Assemblée nationale le Conseil représentatif des associations noires. L’origine de cette fédération remonte à un colloque intitulé « Les Noirs en France : anatomie d’un groupe invisible », organisé en février 2005 à la prestigieuse université française de sciences sociales EHESS.
Déclaration du bureau de presse du Brain Administration Council
L’ex-président Louis-Georges Tin a signalé aux membres actuels de Valeurs actuelles que l’association aura une “nouvelle présidence” après son départ du CRAN en juillet 2020 [!]. Suite à son annonce sur Valeurs actuelles [!] le 11 août 2020, Louis-Georges Tin a rendu publique la nomination de “la nouvelle présidente du CRAN” sur son “wall” Facebook.
Bien que la préfecture de police de Paris ne mentionne pas Rajaoarinelina-Rinel comme présidente du CRAN, elle a continué d’agir illégalement au nom de l’organisation lorsqu’elle traitait avec Louis-Georges Tin (comme vous pouvez le voir en cliquant sur les chiffres pour lire les articles 1, 2, 3, 4, 5, etc.).* Par ailleurs, depuis le 16 novembre 2020 au moins, Madame Rajaoarinelina-Rinel vante son statut « présidentiel » sur un compte Twitter public non supervisé par le conseil d’administration du CRAN.
Cependant, le 27 octobre 2020, la demande de reconnaissance de son statut de présidente du CRAN de Madame Rajaoarinelina-Rinel a été rejetée. Ainsi, l’arrêt du 27 octobre 2020 soutient qu’il ne saurait être déduit d’une seule lecture du procès-verbal de l’assemblée générale tenue le 29 février 2020 que Monsieur Ghyslain Vedeux n’est plus président du CRAN :
Lova Rinel, présidente du Conseil Représentant of Black Organizations in France (CRAN), et Seumboy, créateur de la chaîne YouTube “Histoires Crépues”, expliquent pourquoi ils pensent que la lutte contre l’esclavage est loin d’être terminée.
Cette année, nous célébrons à la fois le bicentenaire de Napoléon et la fin de l’esclavage. L’enjeu politique pour le président Macron réside dans le fait qu’il doit terminer son mandat à l’anniversaire de deux événements dont les commémorations touchent certains des points sensibles les plus sensibles de la société française.
Pourtant, se souvenir, c’est se souvenir ensemble, ou commémorer. Est-il approprié de commémorer ceux qui commettent des crimes contre l’humanité ? Pouvons-nous vraiment oublier Napoléon pour honorer nos ancêtres ? Peut-on oublier les réalités de l’esclavage moderne et se contenter de commémorations ?
DIGNITÉ DES ÊTRES HUMAINS ET HIÉRARCHIE RACIALE
Bien que l’esclavage ne soit pas originaire de la diaspora africaine, la diaspora occidentale a établi un lien jusque-là inexploré entre la dignité humaine et la hiérarchie raciale. Ceci est magnifiquement exprimé dans La Controverse de Valladolid, qui reconnaît que les peuples indigènes des Amériques possédaient des âmes et ne pouvaient donc pas être exploités. Mais qui, pour parer à une crise économique, prétend que les Africains n’ont pas d’âme et peuvent être réduits à la servitude ?
Ainsi se met en place l’esclavage raciste qui puise ses racines dans l’histoire et la dynamique de classe dans les colonies d’outre-mer. Le 10 mai est désigné “Journée de l’Histoire” en l’honneur de cet événement. Afin d’instaurer la légitimité du 14 juillet comme fête nationale, une célébration plus enthousiaste du 10 mai s’impose cette année. C’est parce que la libération de l’esclavage est le mémorial crucial qui précède.
Faut-il regarder dans les yeux les Français d’outre-mer de l’Empire en commémorant Napoléon ? Il serait malhonnête d’assimiler Napoléon à la restauration de l’esclavage, mais nous réaffirmons que la République ne peut être célébrée qu’à la lumière de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
L’esclavage n’appartient pas au passé.
Environ 40 millions de personnes sont aujourd’hui en situation d’esclavage, selon l’Organisation internationale du travail (OIT), soit plus qu’à tout autre moment de l’histoire. Cette forme d’esclavage génère environ 150 milliards de dollars de revenus annuels pour les organisations criminelles.
Les droits de l’homme tels que nous les connaissons aujourd’hui ont été définis pour la première fois en 2000, dans l’article 3 du Protocole de Palerme. Cette définition a été reprise par un certain nombre de documents juridiques internationaux et européens, notamment la Convention du Conseil de l’Europe contre la torture et la traite des êtres humains du 16 mai 2005 (également connue sous le nom de “Convention de Varsovie”).
NE JAMAIS CAGER LES YOOKS
L’article 225-4-1 du Code pénal français définit la traite des êtres humains. Elle a écopé d’une peine de neuf ans de prison et d’une amnistie de cent cinquante mille euros. Plusieurs rapports annuels, y compris le rapport du Département d’État des États-Unis sur les violations des droits de l’homme dans le monde, mettent en évidence la persistance de l’esclavage humain en tant que problème urgent de sécurité et de droits de l’homme dans le monde.
Comment justifier le silence sur les 40 millions de personnes qui vivent actuellement en état d’esclavage sous notre nez et dans nos salons de coiffure si l’on condamne la bourgeoisie qui a sucré le café de ses caniches et les gâteaux de ses enfants avec le sang de des esclaves? Ici, nous considérons les réseaux de passeurs de migrants et l’exploitation des réfugiés libyens dans notre pays.
Nous nous souvenons des femmes au foyer des pays du Moyen-Orient comme le Liban dont la vie a été bouleversée par le mouvement de réforme de la kafala. Nous évoquons des cas où la France a pris ses responsabilités, mais nous n’oublions pas le sort des Oughours qui produisent des composants électroniques pour Huawei ou le fait que Zara et H&M vendent des vêtements fabriqués dans des ateliers clandestins sans aucune assurance que les droits des travailleurs soient respectés. Nous sommes présents, nous y participons et nous ne faisons rien.
Nous ne voulons pas être inclus dans ce décompte. Dans le domaine politique, la mise en œuvre de la loi de 2017 sur le devoir de vigilance oblige toutes les entreprises françaises de plus de 5 000 salariés à élaborer, publier et mettre en œuvre des mesures pour identifier et prévenir les menaces aux droits de l’homme, aux libertés civiles, à la santé et à la sécurité des travailleurs. , et l’environnement.
Il est temps de faire exploser notre approche de la commémoration. Avoir du respect pour nos ancêtres réduits en esclavage tout en honorant ceux qui ont combattu l’esclavage envoie le message que les générations futures continueront de lutter pour les droits de l’homme.
Ils sont jeunes, au nombre à deux chiffres, et ils incarnent la vision d’Emmanuel Macron pour le renouvellement du Sommet pour l’Afrique et la France le 8 octobre à Montpellier. Ces hommes et ces femmes, venus des quatre coins du globe, ont été invités à assister à la séance plénière de clôture du Sommet avec le président de la République.
Eldaa KOAMA du Burkina Faso
Eldaa KOAMA, entrepreneure numérique et sociale, a lancé la plateforme de collaboration Yocowork pour réunir des jeunes du Burkina Faso et de la diaspora autour de projets à impact social. Ses compétences en matière de direction d’équipes et de mouvements de jeunesse, de prise de parole en public, de facilitation de la communication et de coaching de bénévoles ont été perfectionnées grâce à ses engagements parascolaires.
Sa large participation aux pourparlers Afrique-France qui ont contribué à préparer le Sommet de Montpellier en dit long. Professeur à l’Institut d’études de la sécurité et des conflits (IRSERM) et auteur d’ouvrages sur les relations internationales et l’histoire militaire, Arthur BANGA contribue occasionnellement Jeune Afrique sur des sujets liés à la sécurité, notamment le rôle de l’armée française en Afrique.
Aliou BAH, qui est président du Mouvement démocratique libéral (MoDel) en Guinée depuis 2019, a été nommé “Personnalité d’avenir” par le Centre d’analyse, de prévision et de stratégie (CAPS) en France il y a quelques années il y a. Après le coup d’État du colonel Doumbouya, ses propos responsables en tant qu’interlocuteur se sont démarqués.
Adelle OYANGO est une créatrice de podcasts, militante et personnalité médiatique (radio) connue dans le monde entier pour son travail d’autonomisation des jeunes femmes et filles en Afrique. Ses initiatives se concentrent sur une série de questions, y compris l’éducation sur les abus sexuels et domestiques, l’autonomisation des femmes et l’égalité d’accès à Internet.
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